Histoire

 
Cela fait près de 40 années que SOFRAPEV propose ses services à des centaines de clients satisfaits.
Notre dirigeant, Romain ANSELMO, est issu d'une longue lignée d'artisans du bâtiment. 

SOFRAPEV & REA


Forte de son succès, la société SOFRAPEV a été rejoint en 2013 par REA afin de proposer à nos clients un service encore plus complet.



Photo ci-dessous : de gauche à droite, la troisième personne est Jacomo Anselmo, le grand-père avec ses compagnons en 1928

 




 
INTERVIEW

C'est à Fontenay-sous-Bois, au siège historique, sur lequel figure toujours l'enseigne SOFRAPEV, que nous avons rencontré Monsieur Jean-Claude Maugino, créteur de la société.





 
Monsieur Maugino, parlez nous de la genèse de SOFRAPEV
 
J’étais artisan depuis de nombreuses années quand mes activités, pour des raisons d’assurances, ont dû être séparées : d’une part l’étanchéité sous l’entité SOFRET et d’autre part, tout ce qui était peinture chez SOFRAPEV. Nous étions en novembre 1977.
 
Vous étiez nombreux ?
 
Une vingtaine de personne et des clients prestigieux tels que la Régie Renault, Rhône Poulenc et de nombreux syndics notamment.
 
Qui s’occupait de la société ?
 
Moi même, aidé d’un ami que j’avais formé et qui ne s’occupait que de SOFRAPEV. Mais un jour, celui-ci, profitant de nouvelles dispositions de loi concernant les retraites a souhaité prendre la sienne.
 
C’est là que la famille Anselmo intervient ?
 
Oui, son père était un grand ami, origines italiennes communes obligent (rires), et également artisan dans le domaine de la miroiterie. Un peu par hasard, à l’occasion d’une fête de famille, nous avons parlé de la société puis de Romain. Il n’en fallait pas plus et quelques temps plus tard je lui cédais SOFRAPEV.
 
Romain était du métier ?
 
D’une longue lignée d’artisans et travailleur, il n’a pas eu de difficulté à se mettre « dans le bain ». Il n’avait pas d’autre choix puisque mon ancien collaborateur a quitté très vite ses fonctions. Pendant 2 ou 3 ans Romain est resté ici, dans les locaux de Fontenay-sous-Bois, puis il s’est déplacé à Bondy et enfin au siège de Paris XVIIe que vous connaissez.
 
Quel élément supplémentaire a-t-il apporté ?
 
Outre ses qualités professionnelles, il est très doué pour le relationnel et la communication, ce que je n’ai jamais vraiment fait, par manque de temps.
 
Une réussite donc ?
 
Oui, je suis très content pour lui. Et puis, au delà, c’est une satisfaction pour moi-même, créateur d’entreprise qui s’est séparé de son activité, de voir qu’elle perdure et grandie, qu’elle est entre de bonnes mains avec toujours cette volonté de proposer un travail de qualité.
 
Fontenay-sous-Bois, décembre 2015